Hathor est essentiellement une déesse de la joie, et en tant que telle elle est très aimée par la population en général. Elle est vénérée par les femmes, qui aspirent à incarner son rôle multiple d'épouse, mère et amante. En tant que telle, elle a gagné le titre de « dame de la maison de Jubilation », et « celle qui emplit le sanctuaire de Joie ». Le culte d'Hathor est si populaire qu'un grand nombre de fêtes lui sont dédiées, et que de nombreux enfants portent son nom (plus que pour n'importe quel autre dieu). Même la prêtrise d'Hathor est inhabituelle, car hommes et femmes peuvent tous deux y arriver.

 

La puissance animale, la sensualité de la danse, portées par les vibrations de l’archet nous entraîne dans un champ émotionnel et mythique. Cette performance est un hymne au vivant, à la fécondité et à l’amour, dans le respect de la nature et des êtres.

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Avec

 LORE (Laure Douziech)

Marc Lauras au violoncelle

Production

Cie DESIDERARE

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    Lore n'en est pas à son coup d'essai, artiste paysanne, elle aussi, dans l'Aveyron, elle débute la danse contemporaine avec Claire Amiet en 2010, complété de stages avec Patricia Ferrara, Brigitte Fisher, Anna Pitch et Dominique Dupuis. En parallèle elle s'initie à différent type de danse : contact impro., danses traditionnelles, danse voltige, danse verticale, tango et plus largement à tout ce qui touche au mouvement : étude du mouvement, mime corporel.  Recommandé par Emmanuel Grivet Chorégraphe à Toulouse, elle intègre la Cie DESIDERARE en 2016, relais de la Cie SEGERIC, qui produit Vache de Tango  , travaille en atelier pour une création, et commence à danser avec Margot.

De ce duo nait un nouveau spectacle: "Hathor ou à raison..."

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